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Elysia Mustang [TERMINE]

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Elysia Mustang [TERMINE] Empty
MessageSujet: Elysia Mustang [TERMINE] Elysia Mustang [TERMINE] Icon_minitimeMer 31 Juil - 16:40

« RIEN N'EST PLUS BEAU QUE LES MAINS D'UN HOMME DANS LE SANG »
Elysia Mustang
« Flandre Scarlet © Touhou»


Nom : Mustang

Prénom: Elysia

Date de naissance: 31/12/1568

Age: Seize ans...

Lieu de naissance: Près de Londres

Sexe: Féminin

Race: Démon

Rôle: Tueuse. Point.

Sexualité: Qui sait ?


“ Le Caractère



Elysia Mustang. Elle garde le nom que lui avait donné sa maîtresse, le nom d’une charmante petite sœur aimante et affectueuse. Seulement elle est à l’opposé de cette personne dont elle a joué le rôle pendant plusieurs années. Des mots pour la définir… une peste arrogante, orgueilleuse, insatiable. Elle aime jouer et gagner en trichant. Son but est de faire souffrir les autres, tout simplement. Elle hait les humains autant qu’elle les méprise, les trouvant misérables, souillés, arrogants malgré leur infinie faiblesse. Cependant elle les aime au désespoir, affaiblis physiquement et mentalement, mais assez forts pour se relever et appeler un démon… Ayant été humaine, elle n’a pas pour eux la curiosité que pourraient avoir des démons de souche pure. Ce sont juste des insectes à écraser sous son talon. Quant aux faucheurs, elle les méprise encore plus, eux qui s’adonnent le droit de juger des crimes et de conserver les mémoires. Elle aime le sang, la folie, les meurtres, la violence pure. Elle apprécie la torture mentale, les longs jeux où la proie finit par tenter de se donner la mort. Elle aime faire subir aux autres cent fois plus que ce qu’elle a subi. Animée d’un instinct de destruction, elle n’a ni mission ni conviction pour la guider. Juste ce besoin d’anéantir. Mais elle dissimule, tout le temps ou presque, ce tourbillon d’émotions négatives à l’intérieur d’elle-même. Il est un coffre fermé à double tour qu’il ne faut jamais ouvrir. Intégrée dans le monde des humains, aimable, charmante en société, elle continue d’être la petite sœur dévouée à son aînée qui a tout perdu, parents, sœur, beau-frère et neveu. Elle rit, elle plaisante, dissimule sa folie, et la faim qui la dévore toute entière. Mais surtout, elle s’ennuie. Rien, il n’y a plus rien à faire. Les Enfers son un havre de paix –de son point de vue-, le monde des humains est ennuyeux, morne. Où sont les couleurs ? Et surtout la couleur rouge… Elysia aime le rouge. C’est celui du sang qui s’écoule. C’est celui des flammes. Le rouge de la mort. Elle aime les étoffes rouges, elle aime voir cette couleur partout. Mais ce qu’elle aime par-dessus tout c’est teindre les humains de ce rouge. Et elle s’ennuie, encore, toujours. Elle boit du thé dans une porcelaine raffinée au milieu des roses rouges qu'elle affectionne, à longueur de journée. Elle n'a pas envie de courir les forêts pour aller câliner des renards -animaux qu'elle a ironiquement découvert pendant son contrat. Il n'est pas certain qu'elle les aurait autant aimé du temps où elle était humaine... Plus rien à faire. Simplement tuer ne suffit plus. N’y a-t-il pas quelqu’un qui voudrait s’occuper d’elle ? Ensuite… elle s’occuperait de lui. Minutieusement et avec grand plaisir.

“ Le Physique






Il ne faut jamais demander à cette démone de se décrire. Elle s’en ferait une joie… Quel plaisir elle prendrait à se vanter ! Elle possède de fins cheveux couleur des blés, qui retombent en mèches délicates qui encadrent son front. Elle les noue souvent en une haute queue de cheval, et les coiffe d’un bonnet rose pâle orné d’un ruban rouge la plupart du temps. Ses grands yeux en amande, dont couleur oscille entre le pourpre et le violet, brillent d’une méchanceté contenue sous ses longs cils. Une bouche bien dessinée qui s’étire en un sourire narquois, un visage fin et un port de tête hautain. Une peau uniformément blanche, des ongles parfaitement ovales, des membres à la tendre chair qui n’ont jamais connu le travail des paysans. Pourtant aucune chaleur ne se dégage d’elle, son corps est froid et son cœur immobile. Ce corps artificiel sort de son esprit et elle entend le conserver pendant son séjour dans ce monde. Elysia possède une garde-robe bien remplie mais garde souvent le même style de vêtements, c’est-à-dire une robe pourpre qui lui arrive aux genoux sur un jupon de dentelle blanche et un chemisier blanc, avec un foulard jaune et des escarpins rouges sur des bas blancs. Elle a pour habitude de nouer des rubans rouges autour de ses poignets et ses chevilles. Elle possède nombre de robes semblables, mais aussi des tenues qui lui permettent de paraître plus « adulte ». Il n’est pas facile de mener à bien tous ses projets quand on a un corps d’une seizaine d’années… Sa forme de démon, sous laquelle elle vivait aux Enfers, n’est pas vraiment effrayante. Ses yeux prennent une teinte brillante entre le rouge et le rose, ses pupilles rétrécissent en deux fentes verticales, des ailes lui poussent dans le dos. Ce sont deux branches de ronce pourvues d’énormes épines à laquelle sont accrochés des cristaux lumineux en forme de losange. Ces derniers, de toutes les couleurs, brillent d’une lueur malsaine. Sa peau brunit, ses cheveux s’allongent, ses ongles deviennent pointus, des crocs dépassent de ses lèvres. Elle n’a pas utilisé cette apparence depuis longtemps et ce n’est pas maintenant qu’elle va recommencer. Elle a tout son temps, cette jeune démone.


Histoire




Je soupire, attablée en terrasse de ce restaurant luxueux... Qu'est-ce que j'ai fait, déjà, avant ? Ah oui. J'ai dévoré l'âme de ma maîtresse... Elle était bien bonne, mais j'en veux encore. Et puis, maintenant il n'y a plus personne pour me donner d'ordres et je m'ennuie un peu. Je gémis, appuyant mon menton dans ma paume : « J'ai faiiiiim… » « Si vous voulez, je peux vous rassasier Milady. » Le serveur dernière moi vient aimablement me proposer à manger. Il croyait certainement me surprendre avec ses intonations plus répugnantes que sensuelles. Le fixant comme si je voulais deviner la saveur de son âme, j'essaye de combattre la faim qui me saisit les entrailles. Et puis, ce n'est pas grave. Un humain de plus, un humain de moins... Je me lève, souriante, et lui répond langoureusement : « Ce sera avec plaisir... Mais dites-moi, n'avez-vous pas de pièce à l'ambiance plus... intime ? » Et nous voilà quelques minutes plus tard enlacés dans un lit aux riches draps de l'hôtel-restaurant. J'aime m'amuser de la sorte avec les messieurs agréables à regarder avant de les dévorer. Il chuchote mon nom - que je lui ai appris pendant qu'il ôtait lentement mon gant. Je chuchote le sien, et, calmement, il me demande mon histoire... Ha ! Ce pauvre être humain ne va pas être déçu... « Je suis née dans un petit village... ou plutôt, une petite communauté. Nous étions peu nombreux. Ma mère s'appelait Drishky... Et moi je m'appelais... hum, comme si j'allais dévoiler mon nom de démon. » Il glousse. Il doit penser que j'ai de l'imagination. Je ne lui ai même pas dit la vérité… la démone qui me servait de « mère » n’était pas ma génitrice. Moi, avant, j’étais comme lui… humaine, misérable et faible. Une honte. Pour rien au monde je ne raconterais cette époque où je portais un nom humain, où je pouvais mourir à l’aide d’un simple morceau de verre… Imperturbablement nichée au creux de son cou, je continue : « J’ai passé une enfance vraiment agréable, mère nous ramenais souvent de jeunes âmes à mes sœurs et moi… Nous les dévorions avec grand plaisir. C’étaient souvent de jeunes et belles filles. D’ailleurs, je les aime toujours autant. » Cette deuxième enfance, je l’ai vraiment aimée. A cette époque je n’étais jamais affamée. L’enfance d’avant, je l’ai passée chez des nobles, il y a de ça plus d'une centaine d’années. Le manoir somptueux, les domestiques qui exauçaient mes moindres désirs, je m’en rappelle avec précision. Ce dont je me rappelle moins, en revanche, c’est la mort de mes parents. Non, la mort des parents de la petite humaine que j’étais. Celle-là avait toujours tout eu, mais sa vie de luxe était terminée. Par fierté, elle a refusé l’orphelinat. Elle s’est enfuie, s’est perdue dans les ruelles sombres de Londres tout proche. Je ne sais plus à quoi je pensais, pour courir ainsi en chemise de nuit dans l’East End. Mais la petite aristocrate arrogante et pétrie d’orgueil ne savait rien faire de ses mains. Elle aurait fini dans le caniveau où elle avait échoué si un homme ne lui avait pas tendu la main. Evidemment, aucune bonté dans ce geste. J’ai fini le jouet de ce vieux pervers qui cherchait de la chair fraîche et pas trop abîmée dans les bas quartiers. Mais au moins j’ai retrouvé la vie qui m’avait manqué, celle où c’était moi qui faisait souffrir les autres. Un de mes passe-temps préférés quand le « maître » ne s’occupait pas de moi était d’énucléer les servantes à la petite cuillère. Evidemment, il n’en savait rien… Parfois on retrouvait des cadavres sur le seuil et la peur s’emparait de la maison, et j’adorais ça, cette ambiance malsaine et la méfiance omniprésente. Surtout quand j’en étais le déclencheur. « Elysia, ma chère… » Ah, perdue dans mes agréables souvenirs j’avais oublié la présence de ma nourriture... Qu’avais-je fait, ensuite ? Ah oui. Il avait découvert que c’était moi la responsable des meurtres qui ternissaient son honneur. Il a essayé de me violenter. En étant son jouet personnel je pouvais bénéficier d’une certaine « douceur » et d’un train de vie luxueux, surtout pendant la Saison. J’en ai vu, des bals remplis de jeunes filles en robes rose pastel. J’en ai vu, des cérémonies secrètes où des personnes masquées découpaient de jeunes garçons ou bien achetaient des jeunes filles. Qui sont devenues des jouets, des objets, de la décoration, comme moi. Ces soirées ont achevé de me dégoûter de l’être humain. Les humains sont sales. Répugnants. Ils ne méritent que d’être dévorés. Moi-même j’ai été une humaine souillée, mais c’est fini maintenant. Et quand mon corps crie famine, je ne peux que le satisfaire avec leurs âmes perverties… Quand le vieux a tenté de me plaquer au sol, j’ai tiré un couteau. L’avantage de ces  vêtements en mousseline, c’était qu’on pouvait y glisser multitude de choses assez fines. L’avantage d’être la favorite de ce porc était que j’avais accès partout. Même aux cuisines. Aux couteaux. Je le lui ai planté dans le cœur. Sans la moindre hésitation. Sans le moindre remord. Je me suis enfuie. L’East End, à nouveau… Moi, mon couteau, mes cuillères. « Chut, tais-toi. Laisse-moi finir. » J’étais la jeune fille souillée, ils étaient mes armes. Moi, j'ai tué un humain. Un autre, en plus du vieux... Personne n’a jamais parlé du cadavre d'enfant sans globes oculaires sauf au fin fond de l’East End. Ces gens ne me connaissaient pas, ne m’aimaient pas. Personne ne venait à moi, je n’allais vers personne. Tuer, tuer, tuer. Tuer ? J’aurais fait cela aussi longtemps qu’il le fallait pour assouvir mon besoin de violence, s'il ne me restait pas cette étrange répugnance à ôter la vie propre aux humains. J’ai côtoyé, dans l’endroit où semble converger toute la misère du monde, les éternels enfants, les estropiés, les personnes à demi animales. Et le jour de mon anniversaire, mes quinze ans que j’avais tant attendu à une époque où j’étais heureuse dans ma cage dorée, j’ai ramassé un morceau de verre brisé et j’ai lacéré mes poignets, jusqu’à mourir, pleine d’une haine jamais éteinte. C’est à cause de cette haine que j’ai ignoré la lumière. Là où des milliers d’âmes s’engouffraient avec un sourire béat. Malgré tous leurs immenses péchés. Je leur ai tourné le dos, j’ai marché les yeux fermés vers les ténèbres. De toute manière, il m'était interdit d'aller dans l'autre sens. Face aux péchés que j'avais commis, je suppose que la seule issue possible était d'aller en Enfer. Et, sans doute, devenir un démon... J’avais confiance, c’était mon monde. Ça l’est toujours. « Le jour de mes seize ans… j’ai senti qu’on m’appelait. Elle m’appelait. Du plus profond de son désespoir elle m’invoquait… J’ai répondu et sans réfléchir je suis passée pour la première fois dans le monde des vivants. » Pour la deuxième fois, en fait. J’avais sans doute besoin de voir des humains désespérés souffrir et mourir, mais se battre avec force, saisir les fils d’araignée… « Tu venais donc du monde des morts ? » Il rit. Il s’amuse, imbécile mais heureux. « Non, je venais des Enfers… tu sais, ce n’est pas là que vont les morts, contrairement à ce que tout le monde pense. » Ce que les humains peuvent être ignorants. Je sais à présent ce qu’il y a au-delà de la vie. Je sais aussi que j’ai bien fait de ne pas y aller. Je n’aurais pas aimé finir en enregistrement, classée dans une catégorie. Drishky m’a félicitée pour ça. J’ai échappé au contrôle des faucheurs. Je suis vraiment un être supérieur, en tous les points. Tellement supérieure à toi, vers de terre. « D’où viennent-ils alors ? » J’hésite à lui dire la vérité, puis réponds mollement : « D’une bibliothèque… » Il s’esclaffe et caresse tendrement ma joue. Un regard acéré de ma part le fait ôter sa main et, satisfaite, je prends place sur son ventre. Ainsi assise sur lui et vêtue de dentelle rouge, je continue mon récit. « Comme je le disais, elle était une jeune femme brisée par la perte d’un époux, et d’un tout jeune enfant. Chacune a apposé sa marque sur l’autre, moi sur sa nuque et elle sur ma main. » La belle époque. J’ai vraiment apprécié d’être enchaînée… parce que mon estomac se creusait et que j’avais sous les yeux une âme plus appétissante de jour en jour. Et elle m’était destinée… « Quelle marque ? » Eh bien, on essaye de faire preuve de bravoure ? Tes lèvres tremblent, mon mignon. J’agite mon index et un symbole semblable à celui de mon ancien contrat apparaît dans sa chair, gravé en lignes de sang. Il laisse échapper un jappement de douleur et emprisonne mon poignet dans une de ses mains. Son regard a changé, il n’est ni rempli de désir, ni de luxure, ni de tendresse, ni de curiosité, ni d’amusement… C’est juste de la colère, et de la peur. Parce que je l’ai blessé d’une manière qu’il ne comprend pas. « Celle-ci. » Mon ton est glacial. Le sien est haineux. « Sorcière ! » Ça y est, il m’énerve. Ce misérable humain pleurnichard. Je me dégage d’un mouvement sec et plaque ma main sur son cou, les doigts serrés. Pas assez pour le laisser vivre, mais assez pour lui assurer une mort lente et pleine de souffrance… « Je n’ai pas terminé ! » Il tente d’articuler quelque chose comme « arrête » mais je n’en tiens pas compte et enchaîne : « J’ai exécuté chacun de ses ordres jusqu’à la fin. Le misérable fou qui avait assassiné son aimé ayant péri… elle s’est donnée à moi et je l’ai prise toute entière. Son âme, son corps. A présent elle est en moi, heureuse à jamais… » Je place une main à l’emplacement du cœur dans un corps humain. C’est vrai, je la sens, sa présence ténue et tranquille à l’intérieur de moi. Mais je brûle encore d’une faim terrible que je n’ai ni l’envie ni la force de refouler. Lentement je desserre la pression sur le cou de l’homme, à présent strié de marques rouges qu’épousent mes doigts, et il reprend sa respiration avec de longs sifflements.  « Je te dénoncerais à Scotland Yard… espèce de monstre ! » Les souvenirs affluent. Cet homme ne pouvait-il pas se taire ?! « Tiens tiens, Scotland… et qui iras-tu voir ? Le vieux Randall ? Je les connais bien, les forces de l’ordre. J’ai eu affaire avec eux pendant mon contrat… » « Tu ne devrais pas exister ! » Je ne comprends pas. Ce genre de parole ne m’atteint pas, ne me blesse pas. Alors, pourquoi… ? « C’est vrai. Je suis une des aberrations de ce monde, dont les simples humains devraient ignorer l’existence… Toi maintenant tu sais que la société de l’Ombre existe, mon agneau. » Il semble tiquer au surnom mais se retient de me réprimander. Heureusement sinon je pense que je l’aurais tué, et tant pis pour mon repas… « J’ai fait de merveilleuses rencontres en ce bas monde. J’ai entendu parler d’épées magiques, d’anges souillés, de faucheurs renégats et de démons enchaînés. Ces derniers sont différents des chiens tu sais. Les humains ont beau leur passer un collier au cou, jamais ils ne deviendront fidèles à leur maître… » Je n’ai jamais éprouvé la moindre fidélité, la moindre confiance ni le moindre amour envers ma maîtresse. Je jouais à la perfection mon rôle d’adorable petite sœur. Et dans les ténèbres, j’étais son épée. Tout cela pour honorer les valeurs esthétiques que m’a enseigné Drishky. Tout ce que je ressentais en la regardant, c’était une envie folle de la dévorer, et, peut-être, sûrement, un brin d’admiration envers sa force. C’est tout. « Tu es un démon ? » « Non, voyons, je suis une démone ! Tu manques de respect envers la demoiselle que je suis ! » « Pa-pardon... ! » « Mais les faucheurs ne veulent pas comprendre cela. S’ils me voient, ils essaieront de tuer la chienne folle en liberté… » Et sur ces paroles j’éclate d’un rire mauvais qui achève de terroriser l’homme. Il ne veut pas en savoir plus. Il en a assez. Il souhaite juste mourir ou être sauvé… Et moi je suis lassée de ce jeu. Il n’était pas très drôle, pas très long, et la récompense pas vraiment satisfaisante. Tandis que je me penche lentement vers son visage couvert de sueur, mes iris s’embrasent et mes pupilles rétrécissent, lui arrachant de petits geignements terrifiés. Ma langue réjouie passe sur mes lèvres. Ça me met l’eau à la bouche… « Mais je ne retournerais pas en Enfer, c’est bien trop ennuyeux. Et puis, ils n’ont pas de renards. » Son cri disparaît dans ma bouche quand je plaque mes lèvres contre les siennes et arrache son âme. Je sens la déchirure s’opérer en lui, la douleur envahir ses cellules et la vie se stopper dans son corps qui n’est plus qu’un amas de chairs et d’os. Je me redresse, me pourlèche une dernière fois les lèvres en contemplant ses yeux vides. C’est fini. Il a disparu quelque part à l’intérieur de moi et je ne sens pas sa présence au milieu de toutes les autres âmes que j’ai dévorées. Il ne reste plus qu’elle, comme toujours. Et j’ai toujours faim. Je me relève, m’habille d’un claquement de doigts et après un dernier regard au corps immobile laisse s’échapper un petit sourire distingué en tournant la poignée dorée. L’obscurité du couloir au troisième étage m’accueille. Porte refermée, condamnée. Je me fonds dans l’ombre des escaliers, faisant raisonner un éclat de rire teinté de la folie et la faim qui me consument.

« J’ai vraiment faim… »


Derrière le masque





Enfaite, c'est quoi ton p'tit surnom ? Eurydice

Je vois et tu as quel âge ? Encore 14 ans...

Okay et c'est quoi ton niveau en RP ? Bon je crois ! En tout cas, ça fait un peu plus d'un an.

Tu aurais pas un double compte, toi ? Nope o/

Sinon, tu fais quoi dans ta vie ? De l'ordi (hélas). De quoi, tu veux plus de détails Elysia Mustang ? Bon ! Alors, je lis beaucoup, côté roman aussi bien du fantastique que du réaliste mais je fuis les grand classiques de la littérature française (le lycée est déjà là pour me les faire lire), côté manga je touche à tout sauf aux ecchi/yuri. Mon manga favori est Kuroshitsuji, sinon j'aime Bleach, Death Note, Fullmetal Alchemist, Kuroko no Basket et récemment je me suis mise à Free. Ça, c'est les principaux sinon la liste est trop longue... Côté musique ! J'écoute beaucoup de Vocaloid en ce moment... à part ça c'est Muse et Linkin Park, sans doute plein d'autres choses mais j'ai la flemme de regarder dans mon iPod. Euh, je code & graphe depuis un an à peu près, donc c'est pas la crème des crèmes mais je suis plutôt fière de mois (Ahem). Si tu veux savoir d'autres choses... demande moi !

Tu as trouvé le code du règlement ? Validée my Dear ~ Tu as bonnes mémoire !

Mais au faite, comment es-tu atterries là ? Ashou-chan *w*

Tu es en bon terme avec Bob l'Eponge ? Qui est-ce ? °W°

D'ailleurs, t'en pense quoi du forum ? Il est beau... vraiment.

Tes derniers mots mon chou ? Trésor... caverne. *meurt*


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